• faire émerger des qualités

     

    Nous nous mettons dans la pensée que les impulsions que nous transmettons à notre corps et, par son intermédiaire, à tout notre être, naissent dans la région de notre ventre et se répandent dans toutes les directions comme des ondes radio. Si nous amenons ce travail vers une autre personne, nous pensons qu'une « copie » d'elle vient se mettre en coïncidence avec notre propre corps.

     Nous sommes toujours bien clair en nous que ces impulsions que nous transmettons par l'intermédiaire de notre pensée ne seront actives que si elles sont adéquates à ce qui doit être. Tout travail ne peut être qu'une proposition et non une injonction.

     Nous sommes dans la pensée que loin au fond de nous ou de l'autre, nous pouvons capter ces qualités particulières que nous recherchons. Nous sommes dans la pensée de les contacter avec tous nos sens, d'en voir l'énergie, de la toucher, de la sentir, de la goûter … C'est de cette façon que l'énergie de ces qualités peut nous devenir familière et c'est la sensation que nous connaissons ces qualités à l'aide de tous nos sens qui vont aider ces qualités à tisser des liens avec notre quotidien et à émerger dans notre vie ou dans celle de l'autre. Peut-être, des sons, des odeurs, des images... peuvent venir et symboliser en vous ces qualités par rapport au travail qui s'installent.. Dans ce cas, accueillez les mais sachez que cela n'est pas indispensable pour que vos pensées soient efficaces.

     Nous pensons alors que ces qualités émergentes vont imprégner de leur énergie toutes nos cellules et celles de l'autre. C'est comme si nos donnions aux cellules un ordre : faire en sorte de modifier leur énergie afin de mettre en route les processus permettant d'intégrer ces qualités à ce que nous sommes et à ce qu'est l'autre.

     Une fois ces impulsions mises en place, laissons le temps qu'elles puissent porter leurs fruits et soyons dans la disposition de recommencer d'autres fois ce travail pour le redynamiser.

     Si nous travaillons pour une autre personne, laissons la copie de lui que nous avons utilisée aller se réintégrer en lui et pensons ce que nous avons impulsé vient ainsi s'intégrer en lui.

     Nous achevons par une respiration ventrale et peut-être aussi par un exercice du type de ceux indiqués dans "l'arbre"